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 rp ; cassidy & cameron

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Hola, Moussaillon !Dans mon sac de matelot, J'ai mis tout c'que j'avais de plus beau
Captain Sunlight
Captain Sunlight
Messages : 148 Embarquement : 22/02/2015
MessageSujet: rp ; cassidy & cameron   rp ; cassidy & cameron EmptyMar 25 Aoû - 21:09

i know if I'm haunting you you must be haunting me
moi, j'suis plutôt le genre chienne en chaleur, ta langue entre mes cuisses, tes mains dans le bas de mes reins.
Elle rentre. L'appartement est toujours le même. Elle fronce le nez, regarde autour. Des mèches de cheveux passent devant ses yeux. Elle les rejette en arrière. Ils sont devenus trop longs. Elle va probablement les couper bientôt. Il serait temps. Elle avance, baisse les bras, attrape son t-shirt. Le jette par dessus bord. Son jeans suit le même chemin. Chaussures. Culotte. Les soutiens-gorge, c'est surfait. Les fringues, ça sert à rien. Elle baille et s'étire, de tout son long. Nue, bien mieux comme ça. À quoi ça sert de s'habiller ? À pas choquer les petits mamies avec leurs sacs de courses. Sinon elles font tout tomber, et ça fait des dégâts. Cass, elle s'en fout. Elle pense jamais à faire les courses. Parfois, si Cameron laisse de l'argent, elle va. Elle se perd dans les rayons, et elle revient avec du chocolat. Plein de chocolat. La vendeuse fait toujours une tête bizarre, un peu misérable. Comme si elle se disait que c'était pour une soirée triste. Sauf que c'est pas triste. Parce qu'il y a plein de choses à faire avec du chocolat. Elle se mordille la lèvre en imaginant la chaleur sur sa peau, la langue qui suit, les mains qui se perdent … Elle gémit. Ça la réveille jusqu'en bas. Elle a envie maintenant. C'est malins. Elle fait le tour de l'appartement, mais non. Pas de beau mec à moitié – ou totalement – nu pour la satisfaire. Et merde. Elle gémit et tombe sur le lit. Il est immense ce lit. Faut bien pour contenir le mètre quatre-vingts cinq des deux, et leurs galipettes. Elle étire ses jambes sur les draps, saccagent le lit en bougeant, vire la couette, éjecte les oreillers. Elle en garde juste un, qu'elle prend dans ses bras. Elle se couche sur le ventre. Le tissu frotte sur sa peau, sur son ventre, sa poitrine, ses jambes, ses bras, sa chatte à vif. Ça va pas le faire. Elle fait la moue, regardant vers la fenêtre. Elle a pas envie d'être toute seule. Elle se détend un peu. Le tissu, la fraîcheur. Le contact. Elle gémit doucement et s'appuie. Elle bouge les hanches. Ça frotte. Ça appuie. Elle écarte un peu les jambes et bouge lentement. Elle intensifie tout ça, et son corps brûle. Elle a envie. Elle se retourne sur le dos, descend une main entre ses jambes. Ses doigts effleurent son clitoris, ses lèvres, elle gémit encore. Putain.

Elle se cambre un peu et rouvre les yeux. Non. Elle retombe, enlève sa main. Son cœur bat trop fort, plus vite. Son sang pulse dans tout son corps. Mais c'est pas ça qu'elle veut. Elle se mord la lèvre et se relève. Elle cherche du regard mais trouve pas. Elle se relève. Ses fringues ; non. La table ; non. Elle le retrouve dans le canapé. Endroit normal pour un téléphone, non. Elle s'assied dans le fauteuil – puis se relève. C'est plus rêche que le lit, et elle est trop sensible pour ça. Elle se mord la lèvre, appuie sur la touche préenregistrée et attend. Attend encore. Encore. Putain, Cameron. Elle gémit, de dépit et regarde le canapé. Bon … Juste un peu … Elle se rassied, téléphone contre l'oreille. Messagerie. Elle laisse pas de message. Elle raccroche, rappelle. Toujours rien. Alors elle souffle doucement et cette fois attend. Rien que la voix sur le répondeur lui fout des frissons. Putain. Elle attend. Le bip. « Rappelle moi. Ou rentre à la maison. » Elle se mord la lèvre, bougeant un peu sur le canapé. « Je suis trempée, je t'attends. Ramène tes fesses. Et ta queue, de préférence. » Elle gémit pour prouver ses dires, glisse une main entre ses jambes, sert le canapé. Elle avance ses hanches et touche son bras. Un autre gémissement. Putain. Elle gémit son prénom, puis raccroche. Elle se laisse tomber, se passe la main dans les cheveux. Sert les jambes. Elle a envie qu'il vienne, vite. Qu'il soit dans le quartier. Qu'il tourne, débarque. Tornade brune. Et qu'il l'apaise, un peu plus. Comme il sait le faire ; lui, juste lui. Elle gémit un peu et ferme les yeux. Ses mains, son souffle. Elle frissonne. Son téléphone est toujours dans sa main, elle le lève, le fait passer sur sa peau. Contact inconnu. Elle gémit. Sa voix sur le répondeur. Sa voix en vrai. Elle pointe, elle le sait. Elle veut en finir. Et en même temps pas. Elle attend. Elle l'attend lui. Et c'est l'enfer.
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Captain Sunlight
Captain Sunlight
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MessageSujet: Re: rp ; cassidy & cameron   rp ; cassidy & cameron EmptyMar 25 Aoû - 21:09

i know if I'm haunting you you must be haunting me
moi, j'suis plutôt le genre chienne en chaleur, ta langue entre mes cuisses, tes mains dans le bas de mes reins.
Le jour est long, ou la nuit. Cameron a juste perdu le compte des heures, celui des minutes. Il est perdu dans une nouvelle dimension, faite d'ennui, de business foireux, de plans qui ne l'intéressent plus, qui ne l'ont surement jamais intéressé au fond. Plus qu'une cigarette dans son paquet froissé. Une malheureuse cigarette, solitaire, en deuil des soeurs tombées pour intoxiquer les poumons du jeune connard. Jeune connard qui se fait profondément chier, qui a l'impression de parler à des murs de bétons, il se heurte, se fracasse, ils ne veulent rien entendre. Pourquoi l'avoir embauché ? Pourquoi encore continuer de bosser dans ce putain de milieu, continuer à inventer, tourmenter, faire planer les âmes esseulées, violentées, paumées ou alors les vieux riches aussi divertissant qu'une file de gens à la caisse en train d'attendre. Pitié. Que cela cesse. Son esprit est déjà ailleurs. Clope au bec et fumée qui pique un peu les yeux. Pitié encore. Il soupire. Vibre. Vibre ? Son téléphone s'agite dans sa poche, entre le briquet et deux billets qui copulent en espérant se multiplier. Il l'extirpe juste ce qu'il faut. Cassidy. Cassidy et sa gueule affichée dessus. Qu'est ce qu'elle veut ? Elle l'appelle. Elle l'appelle. Il désespère le connard. Elle ne sait pas ce qu'elle veut, mais lui sait qu'il préférerait être avec elle. Avec elle, contre elle, sur elle, derrière elle. A peu près n'importe quoi tant que le mot elle figure dans le bout de phrase. Et il pense à ses fesses. Il pense à son cul. C'est automatique. L'envie de s'appuyer contre, de lui faire sentir sa putain de queue tendue par le désir et la laisser s'enfiler entre ses fesses. Lui offrir une sodomie. La faire jouir et aller à la délivrance d'un instant plus intéressant au passage. Putain Cameron concentre toi. Concentre toi. Sur son cul, sur ses seins, sur ses lèvres. Sa chatte aussi, luisante, ouverte. Bordel. Il ne répond pas, tâche de faire signer les différentes autorisations ou conneries du genre. Ça vibre encore. Ça l'essouffle. Elle est pressée. Elle a un problème peut-être ? En danger ? Et ça l'inquiète à présent. C'est sa soeur, sa gonzesse, il ne sait pas vraiment. Un inceste légal. Il tape des doigts, s'agace de voir les gueules de cons ne pas se décider. Alors il force les choses, explique qu'il a un autre rendez-vous, qu'ils peuvent comprendre, les affaires n'attendent pas hélas. Il est poli, n'en pense pas moins et écrase la cigarette en se barrant. Tout simplement.

Sur le chemin il a le téléphone contre l'oreille. Le premier appel sans message, le second plus catégorique et ce con stoppe net devant la meuf du tabac. Elle prend peur à la lueur de perversité, se dépêche de lui filer ses clopes et de le laisser filer. La cadence s'accélère subitement. C'est enfoui en lui. Non elle va bien cette putain de trainée. Elle va plus que bien. Elle a juste envie. Mortellement envie. Envie de sa queue, de sa trique dressée, profondément durcie, se la prendre violemment ou simplement la taquiner de sa langue. Elle veut jouer avec comme un joystick, un vulgaire sex toy et se faire jouir. Elle veut sentir son sperme s'infiltrer. Elle veut tout Cassidy, elle est un peu cannibale il le sait et ce con ne sait s'en passer. Il est frustré. Trop frustré pour ne pas lui répondre, pour choisir de la laisser se démerder. Il rentre dans l'immeuble, c'est tout juste s'il pousse pas la vieille du sixième dans les escaliers. Prends l'ascenseur salope que ses yeux disent. Pourquoi choisir ce chemin quand une machine peut l'amener aux portes du septième ciel. Il fouille dans ses clefs, ouvre. Non défonce la porte c'est violent, ça fait boom. Ça claque derrière. Le T-shirt vole à travers les pièces. C'est comme pour dire à sa soeur qu'elle va se la prendre. Elle va avoir mal, il est de mauvais poil et elle va aimer ça. Il s'avance. Droit vers elle, dans le salon, elle est parfaitement offerte. La ceinture du salopard claque dans l'air et comme il le ferait à une vulgaire chienne, il entoure son cou avec. Serre juste ce qu'il faut « T'es trempée ? » Il l'attire à lui sans se faire de l'étouffer ou non, son pantalon a déjà quitté ses jambes, son boxer ? Quel boxer ? La queue déjà durcie claque contre le ventre de sa salope de soeur et il l'embrasse. De façon dégueulasse. Perverse. Les langues se mêlent alors qu'il serre sa prise, qu'il lui coupe le souffle de longues secondes. Très longue. Il se marre contre ses lèvres, la fixe droit dans les yeux avant de la jeter contre le canapé et de la retourner. Son index taquine sa chatte luisante, elle mouille fort. Il rit encore, sa queue frotte un instant, son gland pénètre à peine et il entend déjà les suppliques, il sent déjà la trainée s'agiter. « N'y pense même pas Cassidy. » Et avant même qu'elle ne puisse répondre il pénètre. Force l'entrée de son petit trou. Il se fait un passage entre ses fesses. Jusqu'à la garde. Tout en puissance. Connard qui la baise par derrière. En traitre. Comme un chien. Frère et soeur unis. Histoire qui se répète.
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Captain Sunlight
Captain Sunlight
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MessageSujet: Re: rp ; cassidy & cameron   rp ; cassidy & cameron EmptyMar 25 Aoû - 21:10

i know if I'm haunting you you must be haunting me
moi, j'suis plutôt le genre chienne en chaleur, ta langue entre mes cuisses, tes mains dans le bas de mes reins.
Elle se tord, elle soupire, elle garde les yeux fermés. Derrière ses paupières, il y a Lui. Juste lui. Ses yeux, ses lèvres, ses mains, son torse, sa queue. Lui, juste lui. Elle se mordille la lèvre, se cambre. Son téléphone passe sur sa peau, frais, dur. Elle aimerait qu'il rappelle. Juste pour le sentir vibrer. Juste pour qu'il l'électrise à distance, qu'il l'asservisse un peu plus, qu'il lui fasse ressentir encore plus à quel point elle est dépendante. Puis elle décrocherait. Elle entendrait sa voix. Il lui dirait quoi faire. Il lui dirait de rester sage. Ou de se toucher. Qu'il arrive. Qu'il va la baiser. Qu'il va la soulever, glisser sa queue sur sa chatte, puis y rentrer, la défoncer, la faire décoller. La rendre encore plus folle, passer de frustration à plaisir en un temps record. Faire se tendre son corps plus fort encore. Elle sait pas trop. Elle peut pas deviner ce qu'il ferait. Mais l'idée de sa voix, de ses ordres, de son envie entre ses cuisses. Elle gémit. Elle se tord, se cambre. Rejette le téléphone. Il tombe sur le sol. Un boum. Elle rouvre vaguement les yeux. À moitié. Langoureuse, sensuelle, étendue sur le canapé. Paupières à moitié ouvertes, le souffle court, la poitrine qui monte et descend avec difficulté. Il fait trop chaud. Et pas assez. Pas encore assez.

Elle sursaute en entendant la porte. Ça claque, comme un coup de langue, comme un coup de fouet. Un coup sourd, fort, rapide. Qui résonne dans tout son être, fait se serrer ses cuisses. Cameron est rentré. Elle se redresse, yeux ouverts. Elle est sur ses genoux, mains sur l'accoudoir, elle le regarde. Elle dévore du regard le corps qui se découvre. Il va aussi vite qu'elle en rentrant. Elle voit dans ses yeux qu'il en a envie autant qu'elle. L'envie, la colère. Le regard brûlant des deux, combat incessants entre rage et désir. Putain. Cocktail explosif qui fait battre son cœur plus vite, jusque dans son clito. Elle va disjoncter, à ce rythme. Elle gémit, ouvrant la bouche pour dire quelque chose ; pas le temps. Elle sent le cuir, tend le cou, offre sa gorge, sa nuque, son corps, ce qu'il veut. Ça frotte, c'est rêche. Et c'est doux en même temps. Ça envoie des décharges – des putains de décharges – dans tout son corps. Sa voix, sa voix. Elle perd le souffle. Elle veut répondre. Mais elle peut pas. Elle se contente de hocher la tête en bougeant les hanches contre l'accoudoir. Il doit être trempé lui à force. Elle s'en fout. Elle se fout de tout. Des lèvres, une ceinture, un contact plus dur sur son ventre. Elle décolle, elle se tord, elle s'appuie contre, elle perd le souffle, elle perd la raison, elle perd ses esprits, elle perd tout. Y a de la lumière, une lumière rapide, étincelante, qui lui coupe la vue, qui lui donne des bouffées de chaleur. Elle respire plus. Elle peut plus. Et pourtant son cœur bat. Il bat toujours. Plus fort encore. Jusque là. Jusqu'en bas. Forcée d'ouvrir les yeux, de regarder. Tout se brouille. Y a que ce regard. Ce putain de regard de conquérant. Il sait qu'elle aime, il sait que c'est ce qu'elle veut. Et bordel, qu'elle le veut. Un doigt qui passe là où il faut, son corps se tend. Elle jouit pas, elle peut pas – c'est trop tôt. C'est trop bon. Elle bouge. Il se colle. Éclairs de lumières, de plaisir. Elle lève les mains sur la ceinture. Toujours là ; toujours serrée. Elle bouge. Elle veut plus, elle en veut beaucoup plus. Sa voix claque – autre coup de fouet. Électrisée, trempée, abandonnée. Elle grogne, frustrée. Elle suit plus rien, elle pense plus à rien. Elle encaisse.

Enfin, il est là, en elle, sur elle, contre elle. Elle pousse un cri. L'étouffe dans le canapé. S'appuie sur ses genoux pour prendre encore. Elle veut l'avaler, le sentir. Elle s'en fout de ce qu'il pense, de ce qu'il veut. C'est juste trop bon. Elle se cambre, colle sa poitrine en sueur sur le tissu, lève les fesses, réclame. Un bras qui se tend, qui s'accroche où il peut. Sa peau qui se fend, son cerveau qui abandonne. Toute sa peau ; trop réceptive. Elle tend le cou vers l'avant, échappant un peu à la queue, mais savourant la ceinture qui se ressert, qui tire dans l'autre sens. Elle gémit et ondule avant de reculer ; pour s'empaler à nouveau. C'est lui, qui grogne, qui bouge, qui pulse entre ses jambes. C'est lui qui bat, qui serre, qui la tient, qui la contrôle. Elle abandonne, elle se laisse utiliser, abuser, poupée, chienne, salope. Elle s'en fout, elle se fout de tout. Elle ferme les yeux. Le tissu lui écorche les tétons – rendus sensibles à coup de va-et-vient. La ceinture lui fait voir des étoiles. Elle se resserre autour de lui. C'est douloureux, c'est hargneux, c'est violent. Et pourtant, putain que c'est bon. Elle s'appuie sur les coudes, tend les fesses. Rouvre les yeux, pour lui regarde son frère par dessus son épaule. Entre ses cils, entre ses cheveux. Elle gémit, elle réclame, elle en demande encore. Elle tremble et demande plus. Toujours plus. De ça, de lui, de tout, de bonheur en électricité. Elle plante ses ongles. Demande encore. Elle a plus de mot ; elle peut pas parler. Elle veut pas parler. Parce qu'elle sait que ce sera juste pour supplier. Parce que c'est tout ce qu'elle veut. Encore. Encore. Encore. « Encore. » C'est tout ce qu'elle peut demander ; la chaleur, les sens en éveil et le corps en vrac. Et un putain de pied. Envie, quand tu nous tiens.
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Captain Sunlight
Captain Sunlight
Messages : 148 Embarquement : 22/02/2015
MessageSujet: Re: rp ; cassidy & cameron   rp ; cassidy & cameron EmptyMar 25 Aoû - 21:10

i know if I'm haunting you you must be haunting me
moi, j'suis plutôt le genre chienne en chaleur, ta langue entre mes cuisses, tes mains dans le bas de mes reins.
Il est là. Impérial. Conquérant. Il fend le cul de sa sœur avec violence, lui fait sentir toute la hargne de sa queue. Lui fait sentir à quel point il est en train de bander à cause d'elle. De ses putains de gémissements sur son répondeur. Chienne qui se tend contre lui ou le canapé. Il tire sur la laisse improvisée pour mieux la ramener ou pour mieux lui couper le souffle et cette traînée réclame davantage. Elle s'extasie de sentir sa trique lui perforer l'arrière train dans la plus sommaire des brutalités. Cameron délire, perché, défoncé à la peau de sa petite sœur qui encaisse sans jamais se plaindre au contraire elle a même tendance à lui demander - ou ordonner - d'y aller plus fort. De la défoncer. D'essayer de lui faire si mal qu'elle en jouira. Délicieuse louve masochiste qui ne fait que s'enfoncer toujours plus dans la luxure avec son frère. Toujours plus loin. Ensemble. Toujours. Et le connard adore. Elle le sent vu comme il bande dur dans son petit cul. Déjà il en transpire. Elle est serrée mais s'ouvre assez aisément contre lui. La garce reconnaît la bite qui se l'approprie et l'accueille dans toute sa chaleur. Dans toute sa moiteur. Bordel et ça le rend littéralement fou. Son bassin cogne plus fort contre le fessier si bandant de sa sœur. Ça claque, ça fait un bruit si excitant que le rythme ne fait qu'accélérer, que la pénétration est plus profonde. Toujours plus. Il est dans l'excès. Comme en transe à cause d'elle et de son comportement de traînée. De gonzesse en chaleur. En manque de queue. En manque de tout. Il voit qu'elle coule. Qu'elle s'écoule le long de ses cuisses alors qu'il a l'audace de se retirer quelques secondes.

Cameron s'amuse quelques secondes du champ de bataille qu'est le corps de Cassidy. Son cul parfaitement ouvert alors qu'elle cambre quand il tire sur la ceinture. Le cuir craque. Les marques seront belles. Un instant ses doigts de perdent contre son postérieur. Une caresse. Une claque. Puis deux. Ça rougit déjà et il se marre alors que sa trique puissante retourne trôner fièrement dans son cul. Il râle tout son plaisir. Toute son envie tout le bien qu'elle lui fait un « Cassidy.., » Fend l'air entre deux coups de bassins puissants et encore il se retire. Infiltre quelques doigts entre ses fesses comme pour chercher à la contenter du manque grandissant qu'elle a pour sa bite. Bite qui s'ancre en fourbe dans la chatte béante. Trempée. Dégoulinante. D'autres râles alors qu'il la baise autrement. Plus violemment. Remplissant les trous. Parfois il change, retourne se faire une place dans le cul puis dans la chatte. Les doigts dansent à l'opposer de la trique imposante et ce jeu semble durer des heures. Des jours. Peut être même plus. Ça le tue. Le défonce. Ça l'emmène loin et le transporte. Mais il s'arrête. Il ose en un sourire de conquérant arrogant. Il tire sur la ceinture. L'empêche de reprendre son souffle de longues secondes. Juste pour voir comment elle va réagir. Ce qu'elle va faire. Ce corps est violent tant il en a envie. A genoux, la main relâche l'étreinte, lui permet de reprendre de l'air, de chercher à se remettre de tout ce qu'il lui fait subir. Glorieux connard qui lèche les fentes, qui taquine du bout de la langue la chatte, avale le jus qui s'écoule, puis grimpe entre ses fesses, joue beaucoup. Beaucoup trop. A en avoir mal à la queue tant elle est tendue, tant elle a besoin de perforer encore la petite sœur. Inceste violent. Barbare. Cameron lèche, la fait frémir, cherche à l'emmener vers la jouissance, la mouille en trophée dans sa bouche, mais il relâche encore une fois sa torture, s'arrête net. Sa main ne tient plus le cuir, son corps ne touche plus celui de Cassidy si ce n'est pour lui attraper le menton et lui rouler une pelle. Vulgairement. Partageant son envie, son goût. Son goût si délicieux. Si parfait. Elle est parfaite. Chienne d'un autre monde. D'un autre temps. Défoncé à la queue. Au sexe. Elle pue le sexe, son corps luit de transpiration, tous ses muscles ressortent, ses seins gonflés et pointant avec arrogance vers lui. Il s'arrête, laisse la langue taquiner encore puis s'en va lui mordre les seins. Ses tétons sont si durs. Ça lui fait mal sûrement. Il s'en fout. Il sourit. Se redresse simplement. Cameron la toise du regard « Tu as eu ta dose maintenant. Mais tu fais une belle chienne dans cette position. Soumise. Offerte. Tu es ma chienne Cassidy. » Il se branle légèrement, la provoque. « Tu es ma sœur aussi. Tu es à moi, tu es en moi. Partout. » Semi déclaration. Il respire un instant, se branle plus fort, comme pour se laisser aller à la jouissance. Comme pour laisser le sperme s'écouler. Loin d'elle. Sans lui donner quelconque jouissance. Et il se marre. Connard.
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Captain Sunlight
Captain Sunlight
Messages : 148 Embarquement : 22/02/2015
MessageSujet: Re: rp ; cassidy & cameron   rp ; cassidy & cameron EmptyMar 25 Aoû - 21:11

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moi, j'suis plutôt le genre chienne en chaleur, ta langue entre mes cuisses, tes mains dans le bas de mes reins.
Il est partout, sur elle, en elle. Contre elle. Surtout en elle. Dans sa tête qui explose, dans son cœur qui bat trop vite, dans ses doigts qui cherchent à s'accrocher n'importe où pour encaisser la violence bestiale entre ses reins, dans les dits reins qui demandent grâce et réclament plus encore. Parce qu'elle est insatiable. Parce qu'elle s'arrête jamais de réclamer, de vouloir qu'il la baise comme ça, fort, sans état d'âme. Sans se demander si elle aime ou pas. Qu'il prenne ce qui lui revient qu'il la soumette et qu'elle se laisse faire dans un cri de plaisir, dans une dernière tension et un mouvement de bassin. Elle le veut. Elle a envie de lui, de sa queue, de ses coups de butoir contre ses fesses, de ses couilles qui claques et de son membre qui la fend en deux. Elle crie encore, se donnant même pas la peine d'étouffer les bruits, au contraire. Elle s'en fout des voisins ; qu'ils sachent seulement. Qu'ils entendent à quel point la chienne est en manque, à quel point elle réclame cette queue qui la pourfend et ses mouvements qui la déchirent. Elle tremble à l'idée d'exciter le vieux pervers de l'étage du haut, elle est trempée à l'idée que Cameron bande encore plus, soit toujours plus dur entre ses fesses, dans sa chatte, en elle tout simplement. Il est dur pour elle, rendu dur par elle. Elle aime ça – oh oui elle aime ça. Elle se laisse avoir pour ça. Pour cet amour vibrant, destructeur et profondément violent qu'il transmet dans un va-et-vient hypnotisant, captivant, qui la déglingue, la fait décoller et lui enlève toute envie d'être sage. Comme si elle l'avait vraiment été un jour.

Son prénom soufflé, aphrodisiaque, déstabilisant. Elle sent les claques, elle sent les doigts. Elle sent le vide quand il se retire, le manque qui tend automatiquement son corps. Elle sent le membre qui reprend sa place – une autre place, tout aussi sienne. Elle crie. Pas prête, et pourtant tellement trempée que ça coulisse, qu'elle écarte les jambes pour le laisser s'enfoncer, qu'elle bouge les hanches pour le prendre en elle jusqu'au bout, qu'il la baise comme il faut, comme elle en a besoin. Elle crie. Elle soupire. Elle ferme les yeux, puis les gardes ouverts. Elle est prise de partout, ne sait plus où se concentrer, laisse son corps perdre le peu d'attaches avec la réalité qu'il avait encore. Il joue, il tourmente, elle se cambre, elle supplie, elle s'appuie. Elle réclame, catin de bas étage en manque de queue, en manque de sexe, désespérant d'atteindre l'orgasme qui fait se cabrer tout ses sens. Elle le veut. Et en même temps, se sentir sautée comme il faut, labourée avec force, déchirée de l'intérieur – putain. Elle peut plus penser. Elle arrête. Elle se tend. Une langue – elle voit les étoiles, Sirius et la Grande Ours. Elle se perd, gémit, écarte encore les jambes, les enroule autour de ce qui vient, ondule. Serpent, chienne, chatte, salope. Elle frémit, transpire, se mord la lèvre. Douleur, plaisir, douleur, plaisir. Elle réfléchit pas, elle a pas besoin. Il contrôle.

Puis il disparaît. Ses lèvres, un baiser. Elle sent sa mouille, son goût à lui. Elle a envie que ça dure. Mais il est déjà ailleurs, déjà plus bas, déjà occupé à la tourmenter d'une autre manière. Un cri encore quand il mord. Elle se cambre, pour y échapper, pour en redemander, même elle sait pas trop. Douleur, plaisir. Elle ferme les yeux, encaisse, savoure l'onde qui la transperce, qui lui donne la chair de poule. Elle souffle, lentement. L'entendant et ouvre les yeux. Elle le fixe, les yeux langoureux et l'amour violent. Sa chienne. Oh oui. Oh putain, oui. Sa sœur – ah oui ça aussi. C'est vrai, ça aussi. Elle entrouvre les lèvres. Souffle court, envie trop forte. Elle a envie de sa queue par là-aussi. Ses yeux descendent. Sa main à lui, sur sa queue à lui. À moi. Elle a envie de grogner. Elle bouge pas. Elle veut la sentir, la reprendre, l'encaisser. Elle se lèche la lèvre supérieure, les yeux fixés sur ces doigts, ces caresses, cette queue qui apparaît et disparaît. Gourmande, chatte devant la souris, elle pose une main sur son propre ventre. Elle laisse ses doigts glisser. Ventre, entre les seins, la gorge, ses lèvres. Elle les met en bouche. Elle les lèche, laisse tourner sa langue autour. Les redescend sur sa poitrine. Pince un téton, gémit en se cambrant. Elle lève une jambe sur le dossier, relève les yeux dans le regard de son frère. Son frère. Son amant. Son démon. Elle gémit doucement, descend sa main vers son entrejambe. « Cameron ... » Elle soupire, souffle, haletante, offerte, tanguant entre l'envie de lui sauter dessus et l'envie de juste en finir. Soumise, chienne. Ou louve prête à se battre pour sa proie. Elle lève les reins, passe ses doigts sur son sexe, en écarte les lèvres, y glisse un doigt. « S'il te plaît … » Elle supplie, elle gémit, elle essaie de pas aller trop loin. Elle le veut. Encore. Toujours. Plus. Juste … Plus.  
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Captain Sunlight
Captain Sunlight
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MessageSujet: Re: rp ; cassidy & cameron   rp ; cassidy & cameron EmptyMar 25 Aoû - 21:11

i know if I'm haunting you you must be haunting me
moi, j'suis plutôt le genre chienne en chaleur, ta langue entre mes cuisses, tes mains dans le bas de mes reins.
Chienne haletante, sa sœur dans la plus pure des luxures. C'est à la fois terrifiant et exquis et ce connard s'en amuse. Il l'aime c'est indéniable, au-delà d'un lien de sang qui n'existe pas, au-delà de tout. Putain il en bande. Il est si dur que c'est intenable. En elle, à la perforer, lui faire mal, c'est certain, mais elle en gémit. Cassidy est une salope et elle aime ça. Pas de limites, toujours plus loin. Les barrières sont franchies. Toujours plus hautes, toujours plus facilement atteinte. Il se branle en la regardant, ça l'électrise tant c'est violent. Le corps lascif de sa sœur. Ses jambes interminables, ses fesses encore ouvertes, qui demandent le retour de son frère. Son ventre en sueur qui se soulève et ses seins dressés en deux pointes aussi attirantes que le reste de son corps. Putain il a encore envie. Evidemment qu'il a envie. Ses couilles pleines ne demandent qu'à se vider sur elle, en elle. Là où elle voudra, autant qu'elle voudra. Infatigable petite sœur. Jolie salope, glorieuse dans sa position. Chienne offerte. Elle se retourne. Tend la jambe, se déploie comme un ange. Interminable. Longue. Magnifique. Le connard se branle devant sa sœur sensuelle, sexuelle, salope. Mais il est en admiration devant la beauté incandescente de Cassidy. Il ne fait qu'accélérer les mouvements, que râler davantage. Entre frustration et envie qui ne peut se calmer. Il la mate, voit ses doigts contre son ventre luisant, dans sa bouche à se faire lécher, contre ses seins dardés et le téton qui se fait violemment pincer au point de la voir se cambrer. Il en a un râle plus profond à voir la tension de ce corps. A voir aussi la laisse improvisée serrer le cou et pendre entre la poitrine gonflée. Les doigts glissent entre les cuisses trempées, écartent la chatte, laisse voir l'orifice encore marqué par ses passages insidieux. Elle le supplie. Elle en vient à le supplier. Cassidy qui supplie, ça lui donne des frissons, ça le bouffe de l'intérieur. Rare. Elle a envie, mortellement envie de lui. Un besoin qu'elle est incapable de contrôler et putain c'est excitant alors que ce doigt glisse et que Cameron se décide à revenir à la charge. Queue dure en main, qui se fait branler. Gland luisant d'une envie qu'il ne cherche pas à cacher. Il approche encore. Son corps en sueur contre celui de sa sœur. Elle est brûlante, il est brûlant. Ils ont envie. Ça va les tuer un jour. Il joue quand même les connards. Sa trique qui frotte contre la cuisse, qui approche des doigts, sans lui laisser l'occasion de la saisir. Il sourit. Ose rire contre son oreille. « Tu mouilles encore Cassidy. » Il se frotte davantage, rapproche la bite de la chatte, titille le clito avec, juste pour la voir frissonner et s'électriser un peu plus.

« Quelque chose ne va pas ? » Il sourit contre sa mâchoire, glisse jusqu'à ses lèvres. L'embrasse encore. L'embrasse à se déboîter la mâchoire, à perdre le souffle, à perdre le contrôle. Il perd le contrôle. Une main sur un sein qui se fait pétrir, l'autre sur le col de la salope. Sur le cuir de la ceinture, il la force à se redresser un peu plus, à faire preuve de davantage de souplesse alors que sa queue perfore son vagin. Cameron se fait roi à nouveau, en transe. Ailleurs. « Putain c'est bon petite sœur. » C'est vraiment bon. Il en râle de plaisir, soutient son regard intensément et râle. Bouche ouverte tant l'air semble incendier ses poumons à chaque respiration. Il en a des frissons alors qu'il la culbute de plus en plus fort, que ses couilles claquent contre son petit cul qui a déjà pris cher. Qui, il est sur, en redemande encore. Mais Cameron est un enfoiré, un putain d'enfoiré qui ne compte pas faciliter le plaisir de sa chienne de sœur. De sa salope de sœur ? Un peu tout ça. Tout tant qu'elle reste sa sœur. Sa putain de succube, la sienne rien qu'à lui. Sa sœur. Sœur. Sœur. Ça résonne dans son crâne, ça lui vrille l'esprit. C'est un Cassidy en chaîne dans son esprit alors qu'il claque le tempo contre le corps long et frêle de la jolie brune. Sa crinière se colle aux peaux trempées. La chatte dégouline d'un liquide blanc qui n'est pas le sien et ses bourses trop pleines pourraient se vider aisément, mais il tient, se retient. S'en empêche. Parce que Cassidy tout simplement. Il lui mord un sein, lui mord le menton, la lèvre au sang aussi et la fixe de son regard de salaud défoncé à il ne sait quelle drogue. Il la fixe encore et toujours alors qu'il baise la brune. Qu'il la défonce. Coups de reins assassins. Ça fait clac clac clac. C'est bandant comme son. Elle pue le sexe en plus et c'est encore plus bandant. Cass est bandante, dans ses expressions, la tension de son corps. Dans tout et ce n'est que pire quand il chuchote contre l'oreille son prénom. Ce petit « Cassidy. » Suave, presque délicat. Horriblement sensuel et tellement empli d'envie qu'il sait qu'elle ne sait réellement y résister que ça la rend plus folle encore. Folle d'envie. De baise. De lui. D'eux.
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Captain Sunlight
Captain Sunlight
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MessageSujet: Re: rp ; cassidy & cameron   rp ; cassidy & cameron EmptyMar 25 Aoû - 21:12

i know if I'm haunting you you must be haunting me
moi, j'suis plutôt le genre chienne en chaleur, ta langue entre mes cuisses, tes mains dans le bas de mes reins.
Évidemment. Évidemment qu'elle mouille encore. Elle mouille toujours pour lui. Elle mouille pour ses caresses, pour ses mots, pour ses regards, pour ses mouvements, pour son corps, pour sa queue, pour sa voix. Pour tout ce qu'il est, pour tout ce qui fait de lui un homme. Elle mouille parce qu'elle l'aime, parce qu'elle le veut. Parce qu'elle a envie de lui, envie qu'il la prenne encore, qu'il revienne en elle, contre elle, sur elle. Qu'il la baise de nouveau, comme il faut, plus fort. Toujours plus fort, toujours plus violent, toujours plus sale et toujours plus destructeur. C'est juste dur. C'est comme ça que c'est bon, non ? Quand la queue est dure, quand les tétons sont durs. La dureté rime avec plaisir. Et c'est bien trop de plaisir pour qu'elle garde ses esprits.

Elle gémit encore. Il se rapproche, il lui donne ce qu'elle veut ; à moitié. Il joue. Il la frustre, la rend dingue. Fait exploser chaque cellule de sa peau – mais à moitié. Torture, sacrilège, problème. Il vient, se frotte, la rend dingue, mais pas assez. Vraiment pas assez. Elle gémit, se tord, gigote, bouge des hanches et les soulève pour retrouver le contact, pour avoir ce qu'elle veut, ce qu'elle demande. Il rigole, la tourmente. Elle ouvre la bouche, se fait couper par un baiser. Un autre, à la rendre folle, à lui faire perdre ses esprits. Sa langue virevolte, elle s'abandonne. Il est partout. Sa bouche, ses seins, son entrejambe. Elle gémit contre ses lèvres. Ça ressemble à son prénom, mais même elle n'est pas sûre de ce que ça veut vraiment dire. Elle a envie de hurler. Plaisir, frustration, le cœur balance. Puis il est là, et elle crie vraiment, se redressant sous la traction, s'étouffant d'elle-même en tendant les bras, plantant les griffes dans son dos, enroulant ses jambes autour de lui. Elle s'accroche, se tient, se maintient, explose et se reforme en même temps. Elle perd la notion du temps, de l'espace. Elle soutient son regard, trouble, flou, violé et plein d'une gratitude toute sexuelle. Putain qu'elle aime ça. Être traitée comme ça, le voir comme ça, ressentir ça. C'est douloureux tellement c'est bon ; c'est juste ça. Ça fait du bien quand ça fait mal. Il le sait ; il le joue. Il resserre, mord, passe sur tout les endroits sensibles, dents ou lèvres, mains ou langue, elle s'en fout. Elle est que sensation, que passion, que sexe. Catin. Salope. Nympho. Chienne. Elle ferme les yeux, elle s'agite. Elle sert ses griffes, raffermit sa prise. Un Cassidy qui se perd, elle rouvre les yeux. Mais elle voit rien. C'est noir, c'est bleu, c'est rose, c'est Cameron, une nouvelle gamme de couleur. Elle se redresse, le pousse légèrement, un mouvement de bassin et il est assis, un autre et elle est sur lui. Elle lui laisse la ceinture ; elle aime la ceinture. Mais elle s'appuie sur ses épaules, plante ses genoux de chaque côtés et se relève, se rabaisse, se lève, s'abaisse. Tornade, animée par l'envie de jouir, de baiser, de se faire prendre, se faire fendre, de s'envole. Elle en peut plus, elle en veut plus. Une lettre, tellement de différence. Elle s'accroche au canapé, à lui, ils se confondent. Sa queue entre ses jambes, seul élément tangible, accessible. Elle griffe, elle se penche et mord. Elle baise. Elle se baise. Elle l'utilise pour se déglinguer, pour s'envoyer vers les étoiles, pour reprendre comme il faut. Elle prend ses mains à lui, les pose sur ses fesses à elle et s'empale encore. Elle veut qu'il commande, mais elle veut commander. Elle veut qu'ils se sautent, qu'ils soient violents, dégradants. Décadents. Eux-même. Dans le meilleur du pire ; le pire du meilleur. Elle gémit son prénom, supplique, demande, ordre, tout mélangé, tout à la fois. Elle s'en fout de ce qu'il entend, ce qui compte, c'est ce qu'elle dit.

Elle jouit avant de comprendre, avant de réfléchir plus, avant de demander, avant de s'en foutre, en fait. Elle explose pour de bon, parce que c'est trop, parce qu'elle le veut, parce que ça vient sans prévenir. C'est fort, elle tremble. Elle continue de s'agiter, se poussant jusqu'au bout, jusqu'à monter plus haut que le ciel, jusqu'à n'être plus qu'un assemblage de molécules en ébullition. Tout son corps se tend, réclame, impatient. Elle veut ça. Et c'est bon. Tellement bon que quand elle ferme les yeux, rien d'autres n'existe. Peu importe ce qui se passe, peu importe ce que le monde demande, elle est pas là, elle est plus là. Elle est à côté, quelque part. Elle crie, peut-être. Elle gémit, peut-être. Elle sait pas, elle sait plus. Elle implose, contre lui, sur lui. Elle finit alanguie, en jambes, en souffle court et en respiration trop rapide, à genoux sur le canapé, à califourchon sur lui. Et c'est bon. Ça fait du bien. Beaucoup de bien. Elle soupire, rouvre les yeux, le regarde. La luxure dans les yeux, le corps apaisé pour les trois secondes suivantes. Elle le regarde et se lèche la lèvre. Insatiable, incapable de se calmer comme ça. Mais elle bouge pas. Elle savoure. Elle se donne le temps de redescendre, lentement. Très lentement. Jusqu'à ce que chacun de ses muscles ce soit remis à fonctionner. Pas gagné.  
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Captain Sunlight
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MessageSujet: Re: rp ; cassidy & cameron   rp ; cassidy & cameron EmptyMar 25 Aoû - 21:12

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moi, j'suis plutôt le genre chienne en chaleur, ta langue entre mes cuisses, tes mains dans le bas de mes reins.
Il la baise. Vulgairement. Violemment. Comme un chien rut. C'est un peu tout ce qu'il est actuellement. Un connard transformé ou rappelé à sa véritable nature. C'est à cause d'elle. Cassidy. Petite traînée. Petite sœur. Elle le rend fou, fait de lui ce qu'il est et il fait d'elle ce qu'elle est. Deux gosses paumés qui se retrouvent, qui sont tout l'un pour l'autre, qui n'existe que l'un pour l'autre. C'est ainsi que ça c'est fait. C'est ainsi que ça se fait toujours. Putain ce qu'elle est belle. Bandante. En sueur. Gémissante. Elle cri même et ça le rend plus chien. Plus connard. Plus Cameron en manque. Tant d'envie. C'est si bon. Il en râle, perd le fil. Perd le compte aussi. Il bande fort le brun, dans la chatte trempée, rougie de se faire culbuter aussi vulgairement. Cassidy continue d'en redemander, d'hurler, d'adorer ça et autant dire que l'effet suffit à lui faire produire l'effort pour la lui mettre davantage. Les couilles claquent contre la peau, elles sont pleines, elles sont lourdes. D'envie et d'addiction pour sa petite sœur. De sperme aussi. Surtout. Trop longtemps qu'il ne s'est pas vidé. Sur elle, en elle. Trop longtemps. Une nuit, ou plus peut-être, il ne sait pas réellement. Elle est bonne et il a envie d'elle, ça il le sait. Ça oui il le sait. Elle le sent aussi. Cassidy se rebelle, il en grogne à la première poussée, en gémit carrément à la seconde lorsqu'elle grimpe sur lui. Il sent le corps moite de la femelle contre le sien, ça l'électrise un peu plus, il en a des frissons dans tout le corps et elle grimpe, descend, grimpe encore. Ça se répète et ça claque, les peaux trempées en contact quasi continu. Elle est aussi violente que lui, peut-être même un peu plus. Elle s'empale avec insistance. Elle s'empale à lui en déchirer la queue et il râle. Encore. Toujours. Il râle. Contre elle, contre son cou ou contre ses petits seins fermes qu'il suce, qu'il mord. Il les suce un peu encore. Cameron veut les voir pointer plus fort. C'est impossible. Elle pointe plus fort pourtant. Gémit plus fort aussi. Elle lui brise les tympans mais putain ! Il adore ça. Il doit être fou. Pas normal. Anormal. Rien à foutre. Cameron est ce qu'il est et il est ce qu'il veut. Tant que Cassidy l'aime, tant qu'elle le veut. Tant qu'elle pousse plus loin. Cameron est bien.

La laisse bouge entre les deux corps. Ça l'hypnotise un peu, il est tenté de l'attraper, de serrer. De lui couper l'afflux d'air et l'empêcher, la voir partir à la limite de l'inconscience alors qu'elle s'empale durement contre sa queue. Mais il n'a pas le temps, elle récupère ses mains, les pose sur les fesses qui ont déjà pris si cher en quelques minutes. Elle commande pourtant, dirige le rythme, mais le connard n'est pas en reste, il serre le cul avec une poigne si virile qu'il en a lui même mal. Il serre et la fait retomber avec plus de violence, comme une petite pute qu'il aurait payé pour le faire jouir. Il la force à se faire culbuter avec insistance quand bien même elle est belle au-dessus. Il la force à prendre plus, à le sentir au fond, cogner douloureusement. Il la fait insister, elle insiste toute seule. Ça se perd. Qui commande, qui subit. C'est un peu chacun son tour ou les deux en même temps et Cameron s'en fout très honnêtement comme du premier string déchiré de sa petite sœur ô combien salope, chienne. Traînée. Elle jouit. C'est évident, bruyant et violent comme toujours. Elle jouit, se relâche, se contracte finalement. Elle tremble incapable de contrôler et il sent contre sa trique brûlante qu'elle trempe encore plus, qu'elle explose, coule davantage. C'est à rendre barge. Ça le rend barge. Elle continue encore et il la supporte, la fait endurer comme elle le veut encore un peu. Elle se calme, le fixe, comme lui la fixe. C'est beau quand elle est essoufflée, en sueur, les seins luisant et pointant. C'est beau quand ses cheveux sont collés partout, trempés aussi. Il la fait quitter son empalement, laisse sa queue quitter la chatte dont s'écoule un peu plus de jus. Lui bande et la lui remet dans le cul. Sans prévenir. Elle reprend, il la force à subir ses assauts. Une sodomie en clôture alors qu'il râle, qu'il laisse tout le plaisir et toute la frustration prendre le contrôle de son corps. Putain il la veut encore, c'est dingue, il pourrait la tuer par plaisir et il la voit se tortiller, réagir, geindre comme une petite chienne qui a déjà eu sa dose, mais qui en redemande quand même aisément. Putain ça monte et il la repousse vulgairement sur le sol. Se relève aussi et se branle face à son visage si proche qu'il sent bien que cette garce taquine du bout de sa langue l'objet de ses désirs. Elle est épuisée, il l'est aussi et pourtant elle continue de jouer, d'en vouloir. De chercher à flatter sa queue épaisse et pire que dure. Elle ne peut pas s'empêcher et il râle plus fort, ferme les yeux alors qu'il jouit. Une saccade, deux, trois. Elles se succèdent, elles sont longues et épaisses. Le sperme atterrit sur le visage de sa petite sœur si vulgaire, si parfaite, si belle. Le blanc zèbre son visage qui n'affiche jamais la candeur. Il se relâche reprend son souffle. L'observe. Il lui semble qu'elle en récolte dans sa bouche. Il en frissonne et un garce franchit le seuil de ses lèvres. Putain c'est indécent, c'est vulgaire, il la traite comme la dernière des traînées et pourtant elle aime et il ne se sent pas coupable. Non il la trouve belle. Belle avec sa petite gueule pleine du sperme de son grand frère. « T'es belle Cassidy. » Il la trouve belle. Sublime. Comme au premier jour, comme au dernier. Comme toujours. Même vulgaire, même chienne pleine de semence. Elle est belle.
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