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 rp ; cassidy & cameron #2

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Hola, Moussaillon !Dans mon sac de matelot, J'ai mis tout c'que j'avais de plus beau
Captain Sunlight
Captain Sunlight
Messages : 148 Embarquement : 22/02/2015
MessageSujet: rp ; cassidy & cameron #2   rp ; cassidy & cameron #2 EmptyMar 25 Aoû - 21:05

i guess you didn't care and i guess i liked that
un besoin, une envie, une conquête, une brûlure, une piqûre, une douleur, une griffure, une morsure, une drogue dure.
Elle se souvient, vaguement. Il avait dit qu'il devait travailler dans ce quartier là. Elle sait même plus exactement où. Elle gémit doucement, se passant la main dans les cheveux. Elle sait plus. C'est ça de penser plus à sa queue qu'à ce qu'il dit. C'est pas bien, Cassidy. Pas bien. Elle se mordille la lèvre. Elle traverse une rue, ne marchant que sur les lignes blanches comme une petite fille. Elle a des longues jambes, de toute façon, elle fait des grands pas et ça se voit pas. Discrétion. Comme si elle en avait quelque chose à faire de ce que les gens pensaient. Elle secoue la tête. Sortie tout droit de chez le coiffeur, elle sent bon le shampoing, ses cheveux sont de nouveaux courts et sauvage, encadrant son visage. Un air de petit lutin un peu nymphomane. Ou beaucoup. Ça dépend à quel point on la connaît. Elle lève les yeux sur le nom de la rue. Elle est dans le bon quartier. Mais après … Elle avance, au gré des rues, au détour des allées, se laisse porter sans réfléchir. Elle sait pas où il est exactement. Mais c'est pas très grand. Elle a une chance. Elle surveille les maisons, les voitures. Elle sait pas si il va être là, où leurs chemins vont se croiser. Mais elle doute pas qu'il soit pas loin. Il doit être là. Il va arriver. Elle met les mains dans ses poches. Elle a son téléphone, ses clés. De l'argent. C'est tout. Elle aime pas les sacs, c'est chiant, c'est grand, et elle les oublie toujours partout. Alors elle met dans ses poches, et elle fait vaguement attention à ne pas s'asseoir dessus.

Elle l'aperçoit, comme si son corps avait tiqué avant ses yeux. Elle le sent, une vibration. Même pas une odeur ; pas chienne à ce point encore. Elle repère sa silhouette, qui sort d'un bâtiment, qui avance. Il s'attend pas à la voir, elle a pas prévenu. Elle se met à avancer plus vite, jusqu'à courir. Elle bondit en l'atteignant, bras autour de son cou, collée dans son dos. Elle cache ses yeux avec ses mains, attrape le lobe de son oreille entre ses dents. « Devine qui c'est. » Elle rigole, insolente gamine, joueuse jusqu'au bout des ongles. Elle lâche ses yeux pour le retourner, l'attirer contre elle et l'embrasser. Un long baiser, passionné, avide, plein d'une envie inassouvie, jamais assez calmée. Elle viole sa bouche puis gémit. Un gémissement étouffé, sauvage. Comme le grondement d'une louve soudainement en chaleur. Elle a retrouvé son mâle, elle est contente. Elle sent que ça fait déjà effet. Elle le regarde et sourit, se serrant contre lui, contre sa chaleur, son corps dont elle sent chaque détail malgré les couches de vêtements. Putain, l'effet. Comme prendre une pilule. Elle se mordille la lèvre et plonge son regard dans le sien. « J'ai fais du shopping. Mais ... » Elle passe ses doigts dans son cou, descendant sur son t-shirt. « J'hésite pour la couleur. » Elle le regarde, joueuse. « Tu veux pas venir me dire celle que tu préfères ? » Elle sourit. Parce que c'est drôle, parce qu'elle veut son avis. Parce que dans le fond, elle s'en fout des fringues. Parce qu'elle veut juste l'attirer dans une cabine. Parce que c'était pas drôle sans lui pour commenter, pour déchirer. Que c'était pas marrant d'essayer tout ça sans avoir personne pour les enlever. Elle descend ses mains sur ses épaules, puis ses bras, prend les siennes et l'attire, marchant à reculons avec un regard brûlant, qui lui demande de venir, de se laisser emmener. Le magasin est pas loin, ce sera vite fait. Elle veut jouer. Être en public, et en même temps pas. Elle veut baiser à côté de gens occupés, sans qu'ils n'en sachent rien. Elle veut rendre fou le gars derrière sa caméra. Elle veut se laisser prendre devant un miroir qui a vu se déshabiller des centaines de filles.

Elle le regarde, le tirant toujours. « J'ai envie que tu choisisses. Que tu déchires. » Elle s'approche, l'embrasse encore, rapidement, du bout des lèvres, jouant avec lui, tentatrice, un peu. Elle a jamais eu un don pour ça, mais c'est amusant. De faire semblant. De tenir les rênes. D'avoir ce qu'elle veut. « Et qu'on baise, qu'on s'étouffe, qu'on brûle. » Elle le regarde. Elle le veut. Elle le veut toujours, chaque fois qu'elle y pense, chaque fois qu'elle le voit. C'est un feu, une brûlure, une trace qui la bouffe, la dévore, la rend toujours plus dingue. Elle le veut. Elle se mord la lèvre. Le rendre dingue. Lui donner autant envie à lui qu'elle en a envie. Elle l'attire de nouveau contre elle. Entend les bruits de la ville. Mais c'est loin tout ça, hors de leur monde. Elle se colle contre lui, attirant sa main et la passant dans son jeans à elle, se pressant contre lui, au milieu du trottoir. Trempée, toujours prête pour lui appartenir, pour se laisser prendre. Elle l'embrasse dans le cou. « Tu viens avec moi ? »


Dernière édition par Roxanne Slade le Mar 25 Aoû - 21:06, édité 1 fois
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Captain Sunlight
Captain Sunlight
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MessageSujet: Re: rp ; cassidy & cameron #2   rp ; cassidy & cameron #2 EmptyMar 25 Aoû - 21:06

i guess you didn't care and i guess i liked that
un besoin, une envie, une conquête, une brûlure, une piqûre, une douleur, une griffure, une morsure, une drogue dure.
Nouveau jour. Éternel recommencement. Il y a dans cette vie comme un goût de la définition de la folie. Refaire sans cesse les mêmes choses et espérer un résultat différent. Cameron sent la folie contre lui. Cameron sent son esprit détailler. Encore torture à bosser avec des incompétents qui ne comprennent rien à l'art de se flinguer dans une soirée digne de ce nom. Les choses se mettent pourtant en place. Doucement mais sûrement. On l'écoute à force ce petit merdeux qui sait créer l'événement. On l'écoute et on ne regrette jamais. On ne regrette jamais de céder autant de zéros sur le chèque. Cameron sait y faire. C'est devenu trop facile il s'ennuie maintenant. C'est comme la folie. Ça se répète et ne change jamais. C'est triste parfois. C'est triste et sans intérêt jusque. Jusqu'à ce qu'elle s'imprègne contre son corps. Son cœur dans son dos. Ses petits seins écrasés contre sa silhouette. Ses mains si douces sur ses yeux. Elle sent bon. Il y a comme un parfum de Cassidy qui devient plus entêtant dès lors qu'elle susurre à son oreille quelques mots. Le connard sourit. La folie en personne. Elle. Cassidy. Petite sœur. Amante. Chienne. Traînée. Salope. Elle est tout à la fois pour lui. Unique. À lui. Pour lui. Son esprit se fait bousculer, ses sens partent à la dérive. Plus efficace qu'un buvard de LSD. Elle l'embrasse. Elle l'embrasse à lui en couper le souffle. Ça le fait chavirer, le transporte. Oh Cassidy. Bordel il a déjà envie d'elle, sa trique endormie s'éveille doucement, le sang pulse pour la durcir. Nympho de cette gonzesse. De sa petite sœur, l'inceste moral ne le choque plus depuis une décennie. Ce con fait tourner les langues, prolonge, l'asphyxie autant que le contraire. C'est au premier qui tombera le masque. Masque il n'y a pas, ils ont envie l'un de l'autre. Tout le temps. De plus en plus. Elle l'invite, ce n'est pas innocent, Cassidy n'en a rien à foutre de la couleur du string qu'elle pourrait porter pour le faire bander, tant que c'est indécent, tant que ça appelle à l'écarter ou le déchirer pour défoncer sa petite chatte en chaleur. C'est tout ce qui compte pour elle. C'est tout ce qui compte pour lui. Mais Cameron aime la jolie lingerie. Cameron aime la voir en lingerie fine, parce qu'elle porte bien ce genre de vêtements, parce que ça lui va bien, que ça la rend plus belle, plus désirable. Parce qu'il a toujours envie de l'effeuiller comme un putain de paquet cadeau pour l'enfiler ensuite. Connard. Il sourit en coin, se laisse traîner par les mains sans résister. « Mon expertise ô combien grande sur le sujet t'es donc indispensable. » Autrement dit, je vais te baiser dans la cabine, tu n'attends que ça. Ça tombe bien lui aussi.

Encore un baiser, puis les mains qui se laissent guider. La main qui se laisse guider. Dans le jean rêche, sous les couches de vêtements qu'elle porte. Rare de la voir si couverte. Il s'en amuse, caresse la chatte de sa traînée de sœur, déjà mouillée. C'est du propre et il se marre, profitant de la proximité pour lui enfiler un doigt, profondément. « Choisir, déchirer, baiser, te faire jouir. Te la mettre jusqu'à la garde. » Cameron rentre dans le jeu. Allumé. Idiot. Trop facile. Mais elle est bonne Cassidy aussi. Trop bonne pour ne pas se faire avoir. Dope du siècle, du millénaire. La sienne, éternellement. Il s'avance avec elle. « Je viens, je viens. » Elle le tire de toute façon et ils rentrent. Ils rentrent comme ça dans une proximité dégueulasse. Ils rentrent. Il est déjà dedans, enfonce ses doigts, les fait aller et venir, c'est pas discret du tout, il s'en fout. Le clapotis de la mouille n'est pas plus discret. A quoi bon faire dans la dentelle. Dentelle justement. Partout. Et satin aussi. Arc-en-ciel de lingerie. D'ensemble de petite allumeuse. De petite chienne. Il se marre en attrapant un pseudo collier de chienne le faisant tourner devant les yeux de sa sœur « Je trouverai un médaillon à graver. Cassidy. » Il se marre. Chope des articles à la volée. C'est un prétexte, ils le savent tous les deux. Elle est concentrée ailleurs. Ailleurs alors que la main libre du mâle se remplie d'articles. Le collier spéciale traînée est rejoint par un string fendu rouge et noir, lui-même rejoint par son homologue corset. Il voit déjà les petits seins de sa sœur comprimés et prêt à s'échapper de leur cellule de dentelle. Ça le fait bander plus fort. Plus fort alors qu'il rentre dans la première cabine, la tirant avec lui, serrant son emprise dans le jean pour mieux l'attirer. Une fois encore il l'embrasse. Cette fois il prend l'initiative. Jette les fringues au sol, alors que les langues tournent vulgairement. Les doigts sortent. Luisant. Il en lèche un. Le putain de goût de sa sœur. Ça le frappe au cœur. Ça le frappe à la queue. Ça pulse. Il adore. Pire encore. L'autre doigt fini dans la bouche de sa petite sœur tant aimée. Tant baisée. Les vêtements volent. Le haut trop large qui ne cachaient pas vraiment la petite poitrine fière et droite. Le jean rêche qui libère les jambes interminables. Le string se fait enjambé aussi. Nue devant son frère qui bande comme un cheval. Comme un connard. Sa main parcours le corps. Serre un sein à lui en faire mal. Cameron s'en fout. La main descend à nouveau entre ses cuisses, perfore la chatte de deux doigts. Perfore le cul d'un troisième. Cameron est partout. « Tu ne voulais pas faire du shopping petite sœur ? Je pensais que nous étions là pour ça non ? » Il se marre le connard. Le grand frère jubile. Il a envie surtout. Beaucoup trop envie. Les couilles pleines pour elle et qu'importe les oreilles baladeuses qui s'offusquent des gémissements et du petite sœur. Qu'importe.
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Captain Sunlight
Captain Sunlight
Messages : 148 Embarquement : 22/02/2015
MessageSujet: Re: rp ; cassidy & cameron #2   rp ; cassidy & cameron #2 EmptyMar 25 Aoû - 21:06

i guess you didn't care and i guess i liked that
un besoin, une envie, une conquête, une brûlure, une piqûre, une douleur, une griffure, une morsure, une drogue dure.
Elle sourit, l'entraîne, lui fait les yeux doux, les yeux brûlant. C'est plus le chat potté, c'est une chatte en chaleur, qui roule des hanches, miaule lascivement et l'implore pour qu'il lui donne ce qu'elle veut, ce dont elle a tant envie, ce dont elle a toujours envie. Elle lui prouve ; il aime. Pire que ça. Elle se mord la lèvre pour empêcher un gémissement de sortir. Elle garde sa main sur celle de son frère, les deux mêlés dans son jeans, entre eux. Liés et séparés. Elle plonge ses yeux dans les siens. Envie, plaisir, désir, jeu, luxure pure. Elle se lèche la lèvre. Le doigt en elle envoie des décharges électrique dans tout son corps, ça part de ses reins et ça monte. Ça pulse avec son cœur, fort, bien comme il faut. Sa voix achève le boulot. Elle mouille encore plus. Dépendante, nympho. Elle veut sa queue qui remplace ses doigts, elle veut ses mains qui la maintiennent alors qu'elle se fait défoncer la chatte comme il faut. C'est tout ça qu'elle veut, c'est lui qu'elle veut. Et il le sait, il approuve, il en joue. Il la suit en laissant son doigt en place ; misant plus encore. Elle entend ses doigts en contact avec son corps, déjà tellement trempée qu'elle sait d'avance que son string est foutu, qu'il pourrait la prendre tout de suite, directement sur une étagère et qu'elle gémirait de plaisir, sans douleur aucune. Chienne depuis trop longtemps déjà, elle en a oublié ce que ça fait de ne pas vouloir baiser tout le temps. D'un temps où elle aurait trouver ça indécent et non pas sexy, délicieux et encore plus aphrodisiaque que n'importe quelle pilule essayée à ce jour. Elle frissonne, se mord la lèvre à sent pour se retenir de gémir. Évite de bouger pour qu'il laisse ses doigts en elle, qu'il reste contre elle, qu'il la brûle encore de sa présence, de son envie. Elle le connaît, elle voit la luxure dans ses yeux, l'envie dans ses mouvements, la bosse qui apparaît dans son pantalon. Pour elle. Juste pour elle. En bonne petite chienne fière de son boulot, elle se rapproche, l'embrasse sur la joue. Rit en voyant le collier et hoche la tête, se léchant la lèvre. « J'adorerais. » Et le pire, c'est que c'est vrai. Elle se souvient de la ceinture autour de son cou et ça lui donne des putains de frissons dans tout le corps. Elle veut ça. Elle veut être à lui, elle veut qu'il abuse. Elle aime ça, quand il s'impose, quand il la traite comme un poupée. C'est tellement bon que son cœur explose à chaque coup de reins. Alors comment dire non ? C'est pas une menteuse, Cassidy. Elle est pas capable de dire qu'elle voudrait pas, alors que tout son être réclame l'avilissement dans lequel il l'entraîne depuis des années. C'est ça, sa vie, qui elle est. Et c'est bon. Dieu que c'est bon.

Une cabine, elle et lui. Il sort ses doigts, elle gémit de le voir lécher. Elle regarde sa langue avec envie. Toujours avec envie. C'est plus fort qu'elle, plus fort qu'eux deux. Elle attrape le doigt qu'il lui tend entre ses lèvres et l'enfonce dans sa bouche, léchant pour récupérer le jus, le regardant par dessous ses paupières. Appliquée, bonne élève. Il le retire, elle s'étire, lève les bras pour virer son haut et plie les genoux. Elle réfléchit même pas. Elle sait que ça va être bon. Rien qu'être là, nue devant lui, voir la lueur dans son regard quand il la regarde, quand il glisse sur elle, ses tétons dressés ou le sillon humide qui tombe sur l'intérieur de sa cuisse. Il passe ses mains, elle gémit, lève une main sur sa nuque à lui, se tend, se cabre. Mais c'est bon. C'est que du plaisir. Il revient là où elle le veut et elle frémit, elle se colle pour relever une jambe à sa taille, lui facilité l'accès. Elle bouge avec ses doigts, l'embrasse dans le cou et étouffe ses gémissements contre sa peau. Elle passe ses mains sur lui en retour. Déboucle sa ceinture, fait descendre son jeans, attrape cette queue qu'elle aime tant, toujours prête pour elle. Elle le sert, fait glisser ses ongles sans griffer, se colle encore plus à lui pour ramener son sexe contre sa chatte, qu'il en sente la moiteur jusque dans ses reins. Elle lève les yeux dans les siens, capture ses lèvres, fait danser les langues comme il fait tourner ses doigts, se cabre. Elle a envie de s'empaler tout de suite, de se retourner et de le prendre partout. Elle articule, c'est dur de parler. « Baise moi. » Elle s'en fout du shopping, à un point. Si déjà c'était pas son activité favorite, là ça a vite virer à quelque chose de futile et inutile. Ça, par contre, c'est bon, c'est ce qu'elle veut. C'est tout ce qu'elle veut. Elle gémit, l'étouffant encore, entendant des chuchotements dans les cabines voisines, de loin, de très loin. Ce qu'elle entend surtout, c'est le souffle de Cameron, le frottement de leurs corps et son propre cœur qui fait la course dans tout son corps, battant jusque dans ses reins, la laissant pantelante, trop offerte déjà.  
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